samedi 22 octobre 2011

Merci

Jeudi fût une très mauvaise journée.  Sans raison, ni déclencheur quelconque.  Je ne sais pas pourquoi, mais un tsunami a balayé ma journée.  Normalement, ma vie ressemble à un long fleuve tranquille, parmsemé ici et là de quelques vagues plus ou moins fortes et fréquentes.  Mais jeudi, je me suis sentie chavirer.    

J'imagine que c'est ce qui m'attends, des bonnes et moins bonnes journées.  Tantôt pluvieuses et grises, tantôt plutôt ensoleillées.  J'appréhende tant faire une rencontre, comme hier à la biblio, et risquer de me faire poser la question tant redoutée, «comment va la grossesse», et ce, comble de l'appréhension, devant les enfants.  Question, qui, heureusement, hier, n'a pas été posée. 

Je suis aussi ambivalente. Des fois, je sens le besoin de partager mon histoire et ce, dans les moindres détails,  que quelque puisse réellement imaginer, ressentir par quoi je suis passer, pour mieux compatir.  Mais, souvent, très souvent, je garde tout pour moi.  Encore une fois, la présence des enfants,  et leur forte sensibilité, responsable entre autres choses de leur ignorance des circonstances,  m'amenent à me censurer et me taire.

Je focuse le plus possible sur l'avenir, tenant de tourner une page trop rapidement écrite.  Je suis si reconnaissante d'avoir fait la rencontre de blogueuses par le biais des escapades créatives de M comme muses .  Premièrement, pour moi, la notion de blog est relativement nouvelle.  Je crois sincèrement que le fait de venir ventiler ici m'aide plus que je ne l'aurais cru.  De plus, ces blogueuses, rencontrées «live» qu'une fois ou deux, sont encore très présentes dans ma vie.  On se découvre via le web, sur nos pages respectives.  Notre quotidien n'est pas toujours rose, mais le fait de la vivre en réseau nous aide sûrement à passer au travers.  C'est étonnant de voir à quel point j'ai eu droit à des messages réconfortants et des pensées de personnes de qui je ne suis pas si proche, mais qui ont tenu à me montrer leur présence et leur soutien.  Souvent beaucoup plus que des personnes de la famille, qui probablement s'abstiennent par malaise ou par sentiment d'impuissance.

Je tiens à remercier personnellement toutes les personnes qui se sont manifesté, connaissance, ami(e), proche ou famille.  Les mots magiques n'existent pas, mais sachez que vous m'avez touché et que j'en suis émue et reconnaissante.  Tous vos mots, vos pensées, votre présence mis ensemble pansent un peu mes plaies.  Elles ne guériront peut-être jamais complètement, mais vous aurez contribué à minimiser la cicatrice.         

jeudi 20 octobre 2011

Pas facile

Le soleil brille.  Dehors, c'est une magnifique journée d'automne.  Le genre que j'adore.  Normalement.  Il y a une semaine demain, j'ai vécu ce qui a été probablement la pire journée de ma vie. Et depuis, c'est un peu le jour de la marmotte.

À l'intérieur, c'est noir et froid.  Aucune chaleur, rien, niete, nada.  J'ai laissé une partie de moi là-bas (à l'hôpital) et une version triste et morne est revenue à la maison.  Une version déprimante, noire, impatiente, plate, en colère et profondémment blessée.  Une épave sur le bord de chavirer à n'importe quel moment.  Je m'accroche, mais le bord n'est jamais loin. 

J'essaie de voir le «bon» côté.  Comme s'il pouvait y en avoir un, comme si tout ça pouvait faire du sens.  Je me dis que ça aurait pû être pire.  Que j'aurais pu découvrir quelque chose de grave à l'écho de 20 semaines et être obligée de faire un choix déchirant, j'aurais pu porter cet enfant à terme et le perdre ensuite.  Tantôt je me suis même dis que si on m'aurait donné le choix entre sacrifier un de mes enfants pour ce bébé, je n'aurais pas hésiter une seconde et j'aurais choisi mes 2 grands.  Mais le fait d'essayer de rationnaliser l'irrationel (il n'y a rien de rationel, mais tout d'émotionnel dans le fait de perdre un enfant pour importe quand), ne change rien au fait.  Les différents scénarios ayant pour thème d'essayer d'amoindrir ma peine n'y arrive pas.

Ce n'est définitivement pas une bonne journée, ni une bonne semaine.  Le rêve, qui jusque là était réel et beau s'est terminé.  Mon rêve, mais aussi celui d'un couple, d'une famille.  Il a cédé sa place à un cauchemar.  Et la nuit est longue.  Quand est-ce que je vais pouvoir me réveiller?

J'ai reçu un courriel pour une demande de donner un cours de langage de signes pour bébé.  Financièrement tentant, mais être entourée de mamans ou de futures mamans plus heureuses les unes que les autres avec leurs rejetons me laissent un peu de glace.

J'ai su que ma belle-soeur donnerait naissance aujourd'hui.  Quelque part, je suis sûrement contente pour elle, elle n'a pas eu une grossesse facile.  Mais je ne veux pas être celle qui répondra au téléphone pour apprendre la bonne nouvelle.  Désolée, aujourd'hui n'est pas ma journée.  Veuillez rappeler plus tard.

J'ai un cours de couture ce soir, rien de très exigeant, mais ce sera trop.  Il y a 2 minutes, j'ai préparé mes trucs, mais je réalise que ce ne sera pas possible. Je n'y ferais rien de bien et je pourrais bien me coudre un doigt par mégarde.

Bon, quelqu'un a une bonne comédie à me suggérer?      

samedi 15 octobre 2011

Écrire pour ne pas parler

Je n'ai pas besoin de parler des évènements, je ne veux pas je crois.  De peur que ça rende les choses réelles.  Bien que je sais qu'elles ne le sont que trop, que j'en parle ou non.   Mais j'ai besoin d'exprimer certaines choses, choses que je n'ai pas dites, même pas à mon mari.  Parler me semble trop douloureux.
Peut-être ais-je peur de me retrouver face à un silence malaisant.  J'en sais rien, sauf que j'écrirai ici.

Quand j'ai su que je devrais attendre à lundi, je crois que sur le moment, ça ma déplu.  L'idée de rester avec ce bébé en moi dont le coeur ne bat pas pour la fin de semaine n'est pas des plus séduisante.  En même temps, ou un peu plus tard, c'était l'opposé.  J'étais reconnaissante à l'idée qu'on m'extracte (désolée, mais ça ressemble à ça) ce bébé de façon artificelle, de ne pas être pleinement consciente de ce moment, d'être gelée, d'être ailleurs...  De ne pas vivre ce moment naturellement, de ne pas sentir ce qui se passe en moi, d'être un peu à l'extérieur de tout ça.  Je ne voulais pas avoir mal (physiquement.)  Ressentir de la douleur pour avoir un bébé dans les bras ne me causent aucun problème, mais pour ne pas en avoir un, là, j'ai tout un problème avec ça.

Mais, encore une fois, on s'est fait jouer un tour et j'ai su que les choses se faisaient, que ça se passait, bien consciente, trop consciente... et paniquée.  Apeurée de faire une grosse hémorragie, d'être malade à cause de l'angoisse ou de l'intervention, que ce soit douloureux.  Peur de l'inconnu, de l'attente, de la réaction des gens à l'annonce, de ne pas savoir comment on est supposé gérer ça, de quand j'aurai à nouveau un bébé, un vrai avec un coeur qui bat, que je pourrai mener à terme.

À un moment donné, j'ai aussi été reconnaissante à l'idée d'attendre à lundi, de passer la fin de semaine, encore officiellement enceinte (je crois qu'on peut dire ça?)  Un peu comme si je pourrais me faire à l'idée, comme si j'avais un sursis pour me préparer mentalement à ce qui m'attendait.  Comme si, à ma manière je pouvais bercer cet enfant, le garder  au chaud encore un peu, à défaut de pouvoir le serrer un jour contre moi.

Mais non, aucun déali ne me serait autorisé.  Au moins, je dois dire qu'à l'hôpital, on s'est très bien occupé de moi.  Le personnel à fait preuve autant de compétences professsionnelles qu'humaines, ce qui fût très apprécié dans les circonstances et dans une ère où on attend parler des délai, du personnel surchargé et que la déshumanisation des soins.
 

Éprouvante semaine

Aujourd'hui, c'est le 15 octobre.  Date jusque là insignifiante pour moi.  C'était avant.  Depuis hier, je sais que c'est la journée de sensibilisation au deuil périnatal.  Ironie.

Voici une photo prise mercredi par ma fille de 4 ans.

  Un beau couple venant de fêter ses 8 ans de mariage mardi, attendant un 3e merveilleux enfant.  Une petite fille, nous en sommes convaincue qui aurait du s'appeler Stella.  Attendu avec impatience par tous, y compris son frère et sa soeur, déjà si attentif à elle...

Jeudi, je tricotais sa couverture et lui confectionnais un sac à couche à mes cours de couture.  Mais, il y avait bien un mais...

Vers 5 semaine de grossesse, j'ai commencé à saigner, rien d'alarmant (paniquant, bien sûr, mais c'était pour passer.)  J'appelle à la clinique et on me rassure.  Dimanche dernier, ça recommence et m'inquiète.  Je recevrai un traitement d'acupuncture dans le but de cesser les saignements mercredi soir.  Infructueux.  Jeudi après midi, je me rends à la clinique.  J'ai eu la bonne idée plus tôt de tenter de me réconforter en allant faire des recherches sur le net.  Erreur, grossière erreur.  Le bouton panique est collé.  Je vois donc un médecin en fin d'après -midi.  Mon col est fermé, c'est bon signe, mais ne prouve rien.  Je devrai passer un écho pour confirmer la viabilité de bébé.  Il me suggère de me présenter en  personne prendre le rendez-vous en mentionnant que je suis prête pour le passer, il s'agit d'une urgence a-t-il spécifier sur la requête.  Je me rends donc à l'hôpital vendredi 8h et, même si ce n'est pas le protocole (il m'aurait fallu un rendez-vous), le radiologiste me passe à 8h45.  On verra rapidement qu'aucun petit coeur ne bat...  Je veux lui demander s'il est bien sûr, mais l'évidence est là.  Le bébé pour lequel j'écrivais plus tôt dans la salle d'attente, essayant désespéremment de m'accrocher au fait que bientôt, l'écho me rassurerait et que je serais si soulagée, ce bébé pour lequel toute la famille s'était préparée et aimait déjà tant, et bien il ne verrait jamais la lueur du jour et je ne pourrais jamais le prendre dans mes bras...

Sans que je puisse les retenir, les larmes perlent sur mon visage.  Il me dit que je devrai avoir un curetage, lundi.  Je ne peux pas rentrer à la maison, voir le visage des mes enfants incompréhensifs de mon état, devoir leur explqiuer, c'est au-dessus de mes forces.  Je sais que je dois aller apprendre la nouvelle à mon mari.  Les mots ne veulent pas.  J'aimerais tant qu'il les prononce, que je n'ai pas à le faire.  Je ne sais pas où aller, quoi faire, comment apprendre cette horrible nouvelle aux gens qui, comme nous, s'étaient attacher à cet enfant à naître. 

Je me rends chez mes parents et j'annonce le tout à mon père.  Je le suis très reconnaissante, je savais que ses bras, son coeur et sa porte m'étaient grands ouverts.  Autrement, qu'aurais-je fait?  Je suis aussi reconnaissante car je sais qu'avec lui, je n'ai pas à faire comme si, que pour lui, pleurer n'est pas un signe de faiblesse.

Je reste là 1h30 environ et je me résigne à gagner la maison.  J'ai l'intention d'aller prendre l'air avec les enfants, mais ils ne veulent pas.  Ils ne me posent aucune question, je n'ai donc aucune réponse à leur fournir.  Mon mari avait téléphoner à sa mère qui s'occupait de nos enfants afin que je n'ai pas à lui annoncer.  Je suis sous le choc, mais dois vaquer à mes occupations de maman.  Le dîner doit être fait.  Mais vers 11h45, je sais que ça ne va pas attendre à lundi, je vous épargne les détails.  J'annonce à mon chum qu'il ne retourne pas au travaille lorsqu'il arrive pour dîner.  Ce sera pour aujourd'hui.  Je téléphone à ma soeur qui sans que je n'insiste chamboule toute sa journée pour nous afin de s'occuper des enfants.  Merci infinimment petite soeur, ainsi qu'a`ton chum et à papa.  Je vous aime et vous m'êtes d'une aide très précieuse, inestimable.

Donc, pour la 4e fois en 3 jours, direction Cowansville.  Je me rends à la chirurgie d'un jour.  Le temps passe tellement lentement,  j'ai l'impression que de 7 heures ce matin à 17 ce soir, il se sera écoulé 3 jours.  Je ne devrais pas être ici, ce n'est pas comme ça que les choses devaient ce passer. 

Je suis arrivé à l'hôpital à 13h et à 14h30 j'entrais en chirurgie.  J'en sortais à 15h30 et à 17h, je partais, le ventre, les bras, yeux vides et le coeur brisé.  J'ai mal et je suis triste, en colère.  On continue l'ironie?  Aujourd'hui c'est la date prévue d'accouchement de ma belle-soeur.  D'ici peu, elle tiendra une magnifique petite fille dans ses bras.  J'étais du pour le 24 mai, entre le 22 et le 27, je connais 3 heureuses familles qui acceuilleront des bébés.  J'aurai une pensée pour elles.  Je me donnais jusqu'en décembre pour tomber enceinte, sinon on reportait le projet.  Pour moi, la naissance idéale a lieu au début de l'été.  Pour plusieurs raisons, je ne souhaite pas accoucher l'automne, ni l'hiver.  On me suggère d'attendre 6 semaines avant de réessayer.  Je vous laisse faire les calculs...  J'ai juste le goût de partir au soleil avec ma petite famille, de m'envoler loin d'ici, loin de mes livres «Une naissance heureuse» et «Au coeur de la naissance» dans lesquels j'étais plongé, loin des projets de tricot et couture pour bébé, loin de ce linge de maternité et de transition car mon linge ne me fait plus, et ce, complètment inutilement à présent.

Je dois faire face à cette réalité sur laquelle je n'ai pas le contrôle.  Mon défi sera je crois d'y faire face sans me défiler, de vivre les choses comme elle se présenteront, sans mettre un masque, sans vouloir oublier et le vivre avant de pouvoir réellement tourner la page.  Tout est encore si récent...   

(2 min plus tard)

(Je crois que mon blog va finir par me servir de thérapie) 
C'est bien beau ce dernier paragraphe, mais c'est la raison qui parlait et sa voix n'est pas très forte ni convaincante.  En ce moment, je ne veux pas vivre ces émotions, surtout pas en présence de mes enfants.  J'aimerais retomber enceinte très rapidement.  De cette façon, ce ne serait pas pertinent qu'il sache que le bébé n'est plus là (et il est où en fait? leur dire qu'il n'a jamais vraiment été, qu'il n'avait pas de petit coeur, non merci les tentatives d'explications aux enfants sensibles par une maman à fleur de peau!) si un autre serait là bientôt.  Dans un monde idéal (peut-être suis-je volontairement sur un autre planète en ce moment), je n'aurais pas besoin de leur dire quoi que ce soit qu'un autre bébé serait en route.  On va se croiser les doigts et les orteils s'il le faut fort fort fort. En fait, j'ai le goût de faire comme si, comme si rien n'était arriver.  Jamais.  Le problème que j'anticipe, c'est les «comment va la grossesse?»  Silence.  Et si les enfants étaient là à ce moment?  Je pourrais me barricader jusqu'à la prochaine grossesse, comme ça la question ne serait plus malaisante, ils n'auraient pas à savoir qu'on ne parle pas de la même grossesse.  Aux autres que je croiserai d'ici là, lisez mon blog, vous saurez et ne me le demanderez pas, merci!

Finalement, LA transformation!

(ce texte a été écrit le 4 oct)

Non, non, non, je ne me suis pas fait posé des rallonges ni teindre en blonde!  Quoi qu'effectivement, je suis moi-même en transformation, ce n'est pas ça dont je voulais parler, mais tant qua y être;  c'est vrai mon corps change.  Mes hanches élargissent, mon ventre s'arrondit...  Mais vous savez quoi?  J'en suis très heureuse!  C'est que... nous allons acceuillir un autre bébé au début de l'été!  YEAH!

Mais, revenons à notre sujet de base.  LA transformation.  Tant attendue.  Celle de mon sous-sol.  Celle que je sous-estimais.  À l'achat de notre maison, nous avons peint une grande pièce de notre sous-sol afin d'y aménager la salle de jeux.  L'horrible préfini, non seulement arborant les couleurs d'un autre époque, mais aussi des motifs (en relief!) de moulin à vent et cie fût peint de façon joyeuse et lumineuse.  Mais... il y avait bien un mais.  Le plancher.  En béton... usé.  Même chose de l'autre côté, c'est à dire dans la salle dce lavage et salle de bricolage.  Usé comme dans on marche dessus et il s'émiette, laissant des poussières et morceaux de béton à nos bas, les répandant ensuite partout dans la maison.

Donc, l'an dernier dans les vacances, j'ai demandé à mon chum d'installer un revêtement de sol, et il était bien d'accord.  Allez savoir pourquoi, c'est tout juste terminé.  (En fait, je crois que tout propriétaire et/ou parent sait très bien comment ça arrive.)

Bref, depuis une semaine, l'aménagement de la dite pièce, nommons-la salle de bricolage ou de créativité et la salle de lavage, m'enthousiasme au plus haut point.  Premièrement, je sous-estimais hautement le potentiel de cette pièce.  Le plafond n'étant pas terminé, la pièce me semblait destiné à toujours avoir l'air... pas finie quoi!  Une semaine avant l'installation du plancher, j'ai repeint, pour une 2e fois en 1 an, les murs.  Avant d'emménager ici, je n'ai jamais pensé un seul instant peindre en blanc.  Mais ce que je suis contente du résultat!  Bien sûr, il y a des touches (vibrantes!) de couleur.  Ensuite, j'ai vu sur la page Facebook de M comme Muses, ce lien pour faire des tentes pour enfants.  J'avais un ciel de lit depuis 5 ans qui n'a jamais sorti de son placard, alors c'était le moment.  Ensuite, on aligne les meubles de rangement disparates sur le mur du fond, que l'on dissimule par des rideaux cousus dans des draps king achetés pour 5$ chez IKEA.  On récupère le dos du meuble télé pour faire une méga tablette de 8 pieds pour dessiner et bricoler.  Les enfants siègeront sur des tirois de lit trouvé grâce à une amie sur facebook (sa belle-soeur le donnait!) qui feront office de rangement.  Mon bureau (encore un don!) servira aux mutliples projets qui m'attendent et, côté salle de lavage, le mobilier de patio m'accueillera pour les grands projets de couture!  Cool, non!  Une superbe transformation à mini-prix!  J'ai même utilisé de la peinture (recyclée!) non-utilisé qui traînait pour peindre les murs et les carrés peints abritant les oeuvres de marmaille ont été fait avec des restes des couleurs de la salle de jeux. 

En tout, cette pièce mesurant 38pi x 12pi, m'inspire beaucoup de gratitude!  Le sous-sol complet dédié à des loisirs (grande salle d'entraînement, grande grande salle de jeux, et méga salle de bricolage!) me comble en ce moment.  Je suis très reconnaissante pour tout cet espace aménagé à mon goût pour les plus grand plaisir de mes yeux... et de la famille!

tout d'abord,

l'avant
 



et voici...
maintenant!